Alice Maher, interview

Vous travaillez avec de nombreux médiums, sur un même sujet, mais j’ai lu que vous commenciez le plus souvent par le dessin...

Faites-vous une hiérarchie entre les supports ? 

Vous avez beaucoup travaillé sur le paysage, en parlant aussi de mondes cachés de l'Irlande, mais peut-on dire que vous y avez mêlé des questions féministes ? 

Dans vos dessins, vous mélangez beaucoup l’homme à l’animal et créez des créatures hybrides. Est-ce également lié au lieu d'où vous venez ou cela témoigne-t-il d’influences de la mythologie ou de l'histoire de l'art ? 

Ce travail pourrait-il être considéré comme un autoportrait ? 

Votre travail affiche d’ailleurs une sorte de romantisme et je pensais également à ce courant ou au symbolisme en regardant vos œuvres…

Vous parliez de cette grande peinture un peu théâtrale… Comment travaillez-vous vos dessins ?

Quelles autres techniques utilisez-vous dans vos dessins ? 

Pensez-vous que la mythologie puisse dire quelque chose sur notre époque ?

Sujet que vous utilisez aussi comme modèle dans vos dessins…

Vous employez également une figure masquée que l’on a pu retrouver dans un tableau de Michaël Borremans…

L’un des sujets principaux n’est-il pas, d’ailleurs, de revenir aux racines ?

Aimeriez-vous faire un lien entre les animaux et notre espèce ? 

Le lien se fait-il avec la notion de douleur, également fort présente dans votre œuvre ?  

Signifiez-vous que votre travail revêt aussi une dimension politique ou engagée ?